dimanche 20 janvier 2013

# la diversité culturelle

Rhapsodie Hongroise


La plaine hongroise se distingue des plaines de roumaine ou ukrainienne. Sa fluidité est différente, tout comme le maintien et le mouvement de ses paysans.

C’est cette différence là qui nous envahit de l’autre côte de la frontière ukrainienne, quand on n’arrive plus lire les noms de villages. Comme ça, en comprenant son propre impuissance linguistique, peu à peu on rejoint un de plus grand pays paradoxal d’Europe…




Hongrie, malgré tout clichés, ce n’est pas le pays de plaine. On peut y retrouver les petites montagnes, les vagues de collines qui apparaîtraient de temps en temps et apportent l’était d’esprit pastorale.
Le centre de gravitation de pays est sans aucun doute Budapest. Pas seulement car c’est un capital, mais aussi parce que c’est le centre administrative et industriel. Budapest – c’est l’espace de grande tension historique. Les intentions de cette ville étaient toujours supérieures de ses capacités. C’est pour ça que Budapest resté longuement le place de concentrations critiques des ambitions vis-à-vis de centre. Le centre et le concurrent lors d’une longue période de Vienne, d’une ville tout à fait imposante et splendide.

On peut ressentir presque physiquement l’envie de Budapest primer sur Vienne. Les places amples avec les bâtiments classiques bien symétriques qui ne cèdent pas aux viennois, les hautes colonnes triomphales avec les quadriges antiques, les rues étendues circulaires et radiales, les villas respectables et les quartiers juifs prestigieuse avec la dentelle de boutiques de bijouterie et des magasins de la marque.

La majesté de constructions, qui magnifient l’esprit et le courage hongrois, parfois dépassent « l’opposant », la place de Héros – avec les monuments de régents et les bas-reliefs de leurs triomphes renforcent cet équilibre fragile.




La présence de tel « ville de force », et la place de Héros qui peuvent inspire et amplifier l’esprit, sont très manquant pour les ukrainiens. C’est possible la raison pour laquelle, nous au contraire des hongrois, n’arrivé pas à conserver notre indépendance dans l’histoire, et presque perdu notre langue, donné nos territoires aux voisins.

Bien sûr que les monuments décidés aux héros et rois, militant et politiciens – c’est une manifestation superficielle d’esprit hongrois. Ce dernier se cache plus profondément.

Le fait de conservation de langue « étranger », dans le milieu des langues slaves et allemandes pendant la période de mille ans, c’est l’argument convaincant (et, encore une fois, instructif pour nous) qui montre le maintien de identité national avec en même temps la participation égale dans l’espace culturel d’Europe
.




Autre argument qui concerne le passage de « point de non retour » dans le chaos et malheur ce sont les mémoriaux épiques du régime totalitaire (le musée de Terreur (à la mémoire de révolte d’année 1956) et le parc de la Mémoire avec les sculptures de leaders du communisme). 

C'est pourquoi les hongrois, comme les tchèques, polonais, lituaniens  estoniens, lettons ou géorgiens appartiens aux nations qui portent de l'aversion pour totalitarisme, de telle manière de se vacciner contre son retour. 

Les hongrois se souviennent la catastrophe de juifs, qui ont laissé dans la ville les quartiers centraux, dans le pays la gloire d’art, les superbes écoles cinématographique et musical. 

C’est pour ça que maintenant la ville vie de présent et de futur. L’atmosphère calme dans les rues, les conducteurs tranquilles, la police non abusif, la jeunesse naturel l’air européen, et les nombreux cyclistes, pour lesquels les pistes sont placées presque dans toute la partie centrale de la ville.



Le théâtre d’Opéra – un de centre de gravitation de la ville, qui est bien aimée par les touristes et les gens du pays. Certains cherchent à jouir de haut goût des intérieurs, autres s’installent confortablement sur les marches et lisent, ou se reposent. Même si l’ampleur de l’Opéra est masque par les immeubles autour d’elle, ici nous pouvons ressentir clairement tonalité musicale de la ville. 

Néanmoins, la mélodie principale de la ville c’est le thème gotique. Nombreux bâtiments gotiques ou pas pourrions impressionner par le bon goût et l’harmonie de répartition, quand le bâtiment devient un décor pour le quartier. Cependant, elle se trouve comme, par exemple, l’église catholique Eljbetti, bien entourée par les bâtiments de période de la grande reconstruction des villes autrichiennes, qui a commencé dans la deuxième partie de douzième siècle et laissé ces meilleurs œuvres en Vienne, Budapest et Lviv. Ou tout comme bien connu le bâtiment de Parlement, qui devenu la carte de visite touristique et la couronne architecturale de ville. 

Danube – la rivière principale de l’Empire austro-hongrois, s'épanouit le mieux exactement en Budapest. L’abondance de beaux bâtiments encadre comme le bijou les rives de Danube, pour ressentir profondément cette beauté il faudrait s’arrêter au milieu d’ancien pont Szeceny. 

Buda – une partie royal et historiquement la partie le plus ancienne, vous impressionne par l’alliance de monumentalité de palais royaux et discrétion de rues piétonnes. Placé sur les collines, Buda contraste fortement de son arabesque chimère avec le Pechte, dont les quartiers sont géométriques. 

Douce piano de Buda laisse la possibilité de se détendre, se reposer de crescendo de Pechte, et tout simplement gagner du temps pour écouter la musique de ville. 

Evidemment, la place la plus populaire pour les visiteurs de tous les bouts de monde ce sont des bains de Budapest, avec la plus grande d’eux – Szeceny. Le voyageur inspiré va trouver la beauté dans la fusion des bâtiments luxurieux avec les intérieures plein de foule multilingue de touristes un peu perdus, qui souhaitent visiter toutes les bains et les saunas. Cette attraction de changement rappelle de loin les peintures populeuses de Bosch, si on les ôte de sarcasme distinctif, parce que les gens ici sont détendus, non bruyants et non obsédants. 

Il faudrait terminer les longues promenades en Budapest par le repas ou le diner dans le cadre de la cuisine de préférence traditionnelle, avec du vin de coin, pour ressentir la saveur du pays. Même si le vin va vous rendre légers, les plats en Budapest sont bien fondés, à la base de la viande, de pommes de terre ou de la farine. 

Tout cela est bien goûteux, et dans le cas le plus raffiné, peut apporter les nouveaux traits pour l’impression culturelle du pays. Particulièrement, en dégustant la viande de renne accompagné par la sauce de fruits, on voyage réellement dans les nombreux scénarios de chasse, qui sont dispersé partout dans les collines et places de la ville – parfois la fontaine, parfois les bas-reliefs avec les scènes de chasse des aristocrates, leurs vêtements en fourrure sur les portraits se harmonise bien avec l’activité principale de repos entre les guerres et les bals, qui est l’activité de chasse. 

Des vins de hongrois méritent une image particulière, dans la tonalité capiteuse, avec les dominantes qui vont jouer les goûts des œuvres principaux – vins de Tokay – secs ou demi-secs, âge différents, qui sont toujours bien marqué par leurs goûtes de bouquet à fruits. 

Pourtant, vous ne serez pas déçu par des vins de bon marché, qui accompagnent les dînes de voyageur fatigué par la chaleur et les impressions. Si ce sera le voyageur ukrainien, il va être surprit et avoir honte particulièrement par rapport le prix du vin hongrois et le vins ukrainiens, parfois « en poudre ».


Ensuite, comme dans n’importe quel pays, le voyageur ne devrait pas de rester longtemps en capitale, il vaudrait essayer de ressentir les mélodies et les odeurs de la province. La rivière Danube vous invite d’effectuer ce voyage, au moins en alentours de Budapest. De plus que ces dernières proposent des sensations esthétiques et culinaires diversifies. 

Juste à côte de Budapest il y a le village Szentendre – on peut l’appeler Montmartre hongrois. Szentendre est placé en longueur de rives de Danube, il était érigé il y a quelques siècles par les marchands serbes, qui ont fui de l’expansion turque. Lors le dernier siècle cette village a été bien inondé par les peintres et les écrivains, qui l’ont confès l’aspecte « vénération ». 

D’une part, pour les habitants de village c’est les revenus importants, car la foule immense de touristes inonde les rues étroites et emmêlées, doté de nombreuses boutiques de souvenirs et des galeries d’art.


D’autre part, pour ressentir le vrai esprit de ce village, et par rencontrer les « chinois », il faudrait venir ici le plus tôt possible. Comme ça, vous gagnez le plus – les rues du matin sont vides, les places devant les églises sont silencieuses, les nettoyeuses et les ivrognes sont souriantes. Ensuite, vous auriez plus de chances ressentir le village comme l’ensemble unique architecturale des petites bâtiments anciens et les toits ondés. 

Vous pouvez voyager encore, dans la direction de l’Ukraine, vers le village Godollo, qui a servi la résidence pour l’impératrice autrichienne et la reine hongrois Elisabeth Bavarskaya, la mère de de François-Joseph bien aimé en Galicie. 

La position de cette femme, qui était amoureuse d’Hongrie, joué le rôle principal dans la reconnaissance d’autonomie d’Hongrie dans le sein d’Autriche, sa vie est devenu le symbole tragique de l’absurdité de lutte une personne contre les habitudes cruels empereurs. 

Le palais raffiné, avec le grand parc vous permettra de libérer le tempo d’impression de la capitale, et savourer tout simplement la musique, la nature, l’architecture et les intérieurs des bâtiments.






La note musique de voyage à Budapest vous pouvez ressentir même dans le mémorial magnifique dédié à Chopin, qui se trouve à Godollo. Je n’ai pas réussi à retrouver quelle est le lien entre le grand compositeur et ce village, mais le groupe sculptural correspondre bien à l’esprit d’Hongrie, tout comme la musique de ces grands fils – List, Bartók, Kodai. 

Dans tout petit village Martonvasar vous allez écouter les dernières notes de rapsodie hongroise. C’est ici que se trouve le palais baroco (mais toujours avec les éléments de néo gotique) de comte fon Brusnivka. Les meilleurs jours de Ludwig van Beethoven sont liés avec cette famille, qu’a été souvent visite par lui, car il était amoureux d’une de fille de comte. 

Cette ligne va encore retourner à Budapest, vers une histoire autrichienne ou, ce que est plus ample, une histoire européenne, il est évidement que le chorus de Beethoven « Embrasse vous, les millions » de neuvième symphonies devenu le hymne de l’Europe moderne unifiée.



Voilà, le voyageur ukrainien vide physiquement et plein de mélodies de liberté d’ Hongrie, doit rentre chez lui. Dans la direction, où à la frontière cette Europe unifiée va se terminer...




L'article de Oleg YASKIV provenant du journal en ligne Ukrayinska Pravda http://life.pravda.com.ua/travel/2012/08/30/111038/. 


La traduction est faite par Irina  DVINIANINA.

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